Alimentation et chemin spirituel , deux réalités indissociables !
Fruit d'un échange en fin de semaine dernière avec Sebastien Lorca , la personne ayant introduit le "sungazing" ou observation solaire en france , voici quelques bribes de notre dialogue où nous nous rencontrons tous deux à un carrefour...chacun son chemin propre mais une communauté d'itinéraire maintenant !
Les informations présentées dans cette vidéo sont tirées d'abord d’une synthèse d’ouvrages, articles et/ou publications scientifiques,. Par ailleurs, Thierry Casasnovas fait profiter de son expérience personnelle les auditeurs de cette vidéo au titre de « la libre communication des pensées et des opinions », droit et devoir citoyen par excellence.
Ces éléments d’information ne prétendent bien sûr pas à l’exhaustivité et n’engagent que l’opinion de leurs auteurs, chaque lecteur étant libre de conserver, comme il se doit, son esprit critique, sa liberté d’opinion et son libre arbitre.
Ces avis et opinions ne consistent pas davantage en une consultation médicale, mais en un message citoyen portant sur la forme, la santé ou le bon fonctionnement de l'organisme , les auteurs souhaitant partager leur expérience et compréhension personnelles. Les auteurs ne sont donc en aucun cas responsables de l’utilisation qui pourrait être faite de ces informations.
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"Ce n'est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort , qu'ils ont raison " Coluche
"On ne change jamais les choses en combattant la réalité existante. Pour changer quelque chose, construisez un nouveau modèle qui rendra inutile l'ancien." Buckminster Fuller
Linus Pauling, prix Nobel de la paix et prix Nobel de chimie : "L'alimentation optimale est la médecine de l'avenir".
Tags : regeneration,dieu,detoxination,croyance,energie,liberte,respiration,transition,
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Vous assistez le matin au lever du soleil : une sphère lumineuse émerge lentement de l’obscurité et son éclat finit par remplir tout l’espace. Plongez-vous dans cette lumière comme dans un océan de vie qui vibre, qui palpite… Peu à peu vous sentirez que vous nagez en elle, que vous vous fondez en elle, que vous la respirez, que vous la buvez. Laissez-vous absorber par cette clarté jusqu’à ce que vos soucis et vos chagrins finissent par se dissoudre en elle. Quand vous aurez appris à vous fondre dans la lumière, elle vous accompagnera partout. C’est pourquoi aussi, chaque jour, plusieurs fois par jour, dès que vous avez quelques minutes, concentrez-vous sur la lumière. Imaginez que l’univers entier et toutes les créatures qui le peuplent baignent dans la lumière. Et lorsqu’il vous arrive de ressentir cette sorte de fatigue et de découragement qui menace de vous enlever la foi, l’espérance, l’amour, pensez à faire ce travail avec la lumière, c’est lui qui redonnera du sens à votre vie.
Il vaut mieux ne pas s’habituer à regarder ce qui décline, le coucher du soleil, la chute des feuilles en automne… Bien sûr, le ciel au couchant est un spectacle magnifique : toutes ces couleurs qui se fondent les unes dans les autres, comment ne pas être en admiration ? Et lorsque les feuilles tombent des arbres à l’automne et sont emportées par le vent, on se sent rempli d’une agréable mélancolie, on pense au temps qui passe… Pourquoi pas ? Mais si vous voulez être vraiment visité par la foi et l’espoir, allez plutôt regarder ce qui naît, qui s’épanouit… Après avoir regardé les feuilles tomber, à l’automne, est-ce que vous prêtez attention à l’éclosion des nouveaux bourgeons et des nouvelles fleurs au printemps ? C’est à ce moment-là que la nature vous donne quelque chose de précieux. Et si vous sentez le besoin de vous baigner dans une atmosphère pure, vivifiante, sortez le matin, le plus tôt possible, pour contempler le soleil qui se lève.
Jésus a dit : « Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait ». Mais quelle connaissance pouvons-nous avoir de la perfection du Père céleste ?… La réponse est dans le soleil : en le regardant, nous découvrons que le Père céleste est lumière, chaleur et vie à l’infini. Et quand Jésus dit aussi : « Je suis la lumière du monde », qu’est-ce que la lumière du monde sinon le soleil ? Évidemment, le soleil auquel s’identifie Jésus, ce n’est pas celui que nous voyons dans le ciel, c’est le Christ, le soleil cosmique dont notre soleil n’est qu’un représentant. Mais même s’il n’est que son représentant, c’est en le contemplant que nous nous approchons de la perfection du Père céleste, de sa vie, de son amour, de sa sagesse. À travers le soleil, le Christ, qui est l’émanation du Père, ne cesse de répandre ses bénédictions : chaque jour, sa vie, son sang coule vers la terre. La terre n’est jamais abandonnée. Le Christ bénit et vivifie toutes les créatures. Il est à la fois dans tout l’univers, dans tous les astres du ciel, et pour nous, les humains, il se manifeste particulièrement à travers le soleil. Bienheureux ceux qui élèvent et élargissent leur compréhension du Christ, car c’est leur âme qu’ils élèvent et qu’ils élargissent.
Et là, j'ai compris!
Grâce aussi aux quelques mois de la pratique des jus qui m'a considérablement allégé le corps et donc les pensées.
Je commence à passer dans une autre dimension où je me sens plus chez moi.
Je cherche et continue à expérimenter avec une grande ouverture.
C'est pourquoi je vais faire un petit stage d'une journée d'entrée en matière sur le touché thérapeutique, le magnétisme.
J'ai une relation particulièrement forte avec le savoir, l'apprentissage et la transmission et j'entends l'appel de Thierry sur ce point-là.
Il est temps de faire reculer les secrets et la confusion pour éloigner la manipulation et la soumission.
Et personnellement j’œuvre dès que je peux, dans tous les interstices des situations et des échanges de la vie et ce n'est pas triste du tout.
Pour plus d'infos sur le touché thérapeutique:
une vidéo avec traduction simultanée en français:
http://www.youtube.com/watch?v=65cizkTTRig
et le mail de l'organisatrice des stages:
maryse.baar@gmail.com
Alimentation et chemin spirituel : 2 réalités indissociables
2 mai 2013
(Pour faciliter la lecture, votre scribe choisit de garder la forme de dialogue. Bonne lecture !)
Thierry : Nous avons des valeurs communes, avec Sébastien, alors que nos chemins sont très différents au départ. Au début, j’étais réfractaire à la dimension spirituelle de l’individu. Physicien pur et dur, fils d’enseignants, très cartésien… Puis quelque chose s’est imposé à moi, mais pas dans les 1ères années de cru. Les 1ères années : instinctothérapie, avec consommation de beaucoup de produits animaux et denses. Le physique prenait le pas sur le spirituel.
C’est plus tard, avec la démarche hygiéniste, il y a 4 ans, que c’est venu. Et cet « appel » va croissant à mesure que l’alimentation devient plus légère et subtile.
Ce ne sont pas des choses que je vais chercher, mais que je constate : j’acte que je peux me nourrir de jus, alors qu’avant je ne pouvais pas. Parfois, je bois un litre de jus, voire moins, en étant parfaitement bien. Il y a des jours où je n’ai rien consommé jusqu’à 18h ou 19h sans m’en rendre compte.
C’est lié aussi à la lumière. Il y a des jours comme celui-ci (je suppose qu’il fait gris ?) où j’ai besoin de plus de jus.
Sébastien, c’est l’inverse, il a choisi une forme de développement spirituel, et la nécessité s’est présentée à un moment donné de passer à autre chose sur le plan alimentaire.
Sébastien : C’est comme ça que ça s’est présenté. Le corps a de plus en plus de mal à s’intoxiquer, et lorsqu’on a une pratique solaire (sungazing), on a un rapport avec le corps qui s’accentue fortement. Donc dès que vous aurez un souci à l’intérieur de vous, ça va de plus en plus vous faire de mal, à plein de niveaux.
Donc soit on peut continuer, et vivre encore + fort cette intensité de mal-être, soit à un moment donné, ce n’est plus possible. Il y a une évidence, qui fait qu’après, on ne peut plus faire comme ça.
Ce n’est pas la nature d’un individu d’être en souffrance. Cette évidence et la force de la pratique du Sungazing permettent d’aller au-delà, et de changer son alimentation, en qualité et en quantité. Et aussi le fait qu’on a de moins en moins faim.
Ca se joue au niveau du corps subtil, du corps éthérique avec son tube pranique.
Il y a 2 mécaniques qui existent : la mécanique biologique et la mécanique pranique.
Ce qui est en train de se jouer chez Thierry et chez d’autres, c’est une transition. Les transitions alimentaires ne se font pas comme ça. Il y a souvent des aller-retours avant de s’installer vraiment dans quelque chose.
T : Ma vision des choses, c’est qu’on naît séparés de la dimension spirituelle, de la conscience de cette présence de déité qu’on appelle Dieu, de cette présence de Dieu en nous.
Comme pour la régénération, il y a une graine de potentialité de retour à ce qui est déposé en nous. Mais cette graine demande de l’énergie, elle a besoin d’être nourrie.
Pour les gens qui changent d’alimentation, les 1ers temps, l’énergie est utilisée pour la détoxination, puis pour la régénération. Au bout d’un moment, quand la grande part du travail de détox et de régénération est faite, cette énergie disponible vient nourrir cette graine et nous structurer littéralement.
Vision d’une espèce de tronc qui pousse dans le dos et qui structure. Energie libérée et disponible pour ça, pour cette structuration spirituelle de l’individu.
Ce qui est fabuleux, c’est qu’il n’y a rien à faire, comme pour la régénération. Ca se fait !
Cercle vertueux : chaque apport sur le plan de la structuration spirituelle permet de sortir de la nécessité de survivre, de cette idée que si je ne réponds pas besogneusement à mes besoins chaque jour, je suis en danger de mort.
Les notions de peur et de carence deviennent comiques !
La plénitude et la confiance absolue s’installent.
S : Les croyances mentales jouent beaucoup. C’est le nettoyage qui t’as permis de te défaire de ces croyances, qui sont ancrées profondément en nous, au niveau animal.
T : Tu parles de conscience animale : quand j’ai commencé le cru, c’était avec une forte proportion de produits animaux. Je m’identifiais complètement, dans ma pensée, mes visions et mes rêves, à une espèce de modèle idyllique de l’homme de Cro-Magnon (jouissance à tenir des os animaux, transe).
Sur les forums américains, la « paléo diet » véhicule cette image d’hommes préhistoriques. Besoin animal de me nourrir, de chasser. J’étais bien… jusqu’au basculement.
Toute mon énergie était au niveau de mon bas-ventre, alors que maintenant, elle est au niveau de mon thorax. Et toutes ces images ont complètement disparu. J’avais besoin de me nourrir dès le matin, sinon je me sentais faible. Quand j’ai découvert que je pouvais ne rien manger jusqu’à midi, j’ai senti la vraie liberté : celle de se nourrir ou non le matin (choix).
Je ne suis plus gouverné par ma nécessité de survie.
Lien direct entre la forme de mes pensées, rêves et projections et la forme de mon alimentation.
S : C’est fondamental. Influence corporelle de nos croyances. Selon si l’on croit qu’on a besoin de telle ou telle chose, on va influencer notre poids, etc.
Par rapport à nos croyances, il serait défavorable pour nous de rentrer dans un système de nourriture pranique, d’y aller avec effort de l’égo qui souhaite « arriver » à arrêter de s’alimenter.
C’est beaucoup mieux quand ça se fait naturellement, sans la volonté. Sinon, on créé beaucoup de tensions dans le corps. Ca m’est arrivé. Un jour, j’ai voulu vivre de prana (attention à certains stages pas sérieux)… Ce qui est important, c’est de suivre cette évidence. Que ça ne soit pas un effort de l’égo. Ce n’est pas salutaire dans ce cas.
T : C’est même dangereux. Avant de mettre les tuiles sur le toit, il faut les fondations de la maison. C’est pour ça que j’insiste autant sur les glandes surrénales : il faut d’abord se bâtir avec des matériaux sains, et le reste viendra ensuite. On n’a rien à faire.
S : Il faut que ce soit une évidence et non un effort. Les transitions se chevauchent. Progressivement, on va accéder à cette vie énergétique, et c’est cette vie énergétique qui va prendre le relais sur le mécanisme biologique. Vous allez sentir progressivement qu’il y a quelque chose d’autre, une énergie qui vous guide.
T : C’est vraiment une expérience individuelle. Avant, on m’en parlait, ça me faisait rigoler. Je pensais que c’était des trucs de babas complètement perchés. Maintenant, je revois ma copie et suis content de le faire. C’est intéressant. Mais je revois ma copie à partir d’une expérience individuelle que je n’ai pas voulue. Ca s’impose, mais à partir d’un processus normal, progressif et graduel. Les 2 phénomènes (alimentaire et spirituel) se nourrissent mutuellement.
Histoire d’une amie qui avait commencé le sungazing et qui continuait à manger comme avant : elle a pris beaucoup de poids.
Un autre ami était en surpoids et se faisait des cures de jus en pratiquant le sungazing : il ne perdait pas de poids (la lumière nourrit).
Inadéquation entre la nourriture reçue et la croyance en un besoin.
S : La dimension émotionnelle et sociale est très importante aussi. En mangeant cru, cet aspect se nettoie aussi. Crises de larmes = nettoyage. On croit que c’est en mangeant qu’on va calmer ces émotions, alors que c’est l’inverse ! Passage important.
Socialement, besoin de se retrouver autour d’un plat, d’un repas.
Ca va évoluer avec le temps, si l’on reste authentiques avec ce qu’on vit, avec nos proches. C’est à vous de faire ce travail. C’est vous les pionniers, et c’est vous qui allez permettre le changement autour de vous.
T : Nécessité d’être authentiques et de porter le message. Avant, j’essayais de ne pas vouloir être méchant avec les gens, de ne pas vouloir les choquer… Maintenant, je refuse de faire quelque chose pour « faire plaisir » à quelqu’un. Si je ne peux pas être accueilli tel que je suis…
J’ai un rôle à jouer à ce niveau-là, et il est important de porter le message. Chaque fois que je le fais, ça amène discussions et échanges riches.
S : Et la peur qu’on a en nous se manifeste à l’extérieur !
Au départ, quand j’ai commencé à être végétarien, j’ai remarqué autour de moi une certaine résistance, des comportements un peu acerbes à mon égard, parce que je n’étais pas clean en moi par rapport à ce choix. Et puis petit à petit, j’ai accepté d’être différent, et finalement, comme par miracle, à l’extérieur, les rapports des gens avec moi changeaient complètement. Il n’y a plus aucun problème aujourd’hui. Les gens m’acceptent tel que je suis.
La pratique du sungazing m’a permis de comprendre de façon très intime que ce qui se passe à l’extérieur de nous, c’est vraiment ce qu’on a en nous aussi. Les rapports qu’on a avec les gens à l’extérieur viennent de ce qu’on a en nous. Tous les conflits qu’on a à l’extérieur sont des choses qu’on a en nous.
Mais ça, ce sont des mots. Le plus important est de trouver cette espèce de « trou noir » dans le cœur, d’où se manifeste le monde extérieur.
T : Livre de Gabriel Cousens : Alimentation, science et spiritualité au 21ème siècle.
S : Super bouquin qui met en avant le lien entre le type d’alimentation et l’effet sur l’énergie, le prana, et sur le lien avec le divin.
T : Pour moi, ça reste une question de « Où est drainée notre énergie ? » Qu’est-ce qu’elle nourrit ? Qu’est-ce qu’elle peut faire croître ? Est-elle dépensée en processus mentaux, en processus digestifs ? En processus de détox, régénération ? En autre chose ?
Si l’énergie est moins drainée par les processus de digestion ou de détox, elle se reporte automatiquement sur le reste…
S : C’est le chemin qui est magnifique, pas le but (Cf. le livre Le guerrier pacifique). Avec ces transitions alimentaires, on parvient à une communion de plus en plus intime avec l’être magnifique en nous, qui est en joie d’être, simplement. Du fait d’être nettoyé, on perçoit mieux cette joie d’être.
On devient le réceptacle de qqchose qui nous dépasse et nous rend heureux.
Tube pranique. Il faut entre 1 et 5 ans pour nettoyer un corps, pour vivre sur l’énergie. Souvent par paliers : végétarien, puis végétalien, puis cru, puis liquides, etc. Transitions alimentaires.
La communion se développe de plus en plus avec ce bien-être-là, au-delà des mots.
Présence et silence intérieurs.
T : Le renouvellement complet d’un organisme, au niveau cellulaire, se fait en 7 ans.
S : Alimentation + gros travail sur les croyances. Il est important d’avoir une certaine reliance, liée au chakra de la couronne.
T : De même que nos croyances négatives nous limitent, nos croyances positives vont permettre, « ouvrir la porte ». Notre unique liberté est là : dire oui ou non à qqchose qui s’impose à nous et nous pré-existe. Si on dit non, on bloque la chose. Si on dit oui, on lui permet de se manifester et de se répandre.
S : Processus de 21 jours pour être pranique. Résultats sont là, mais trop dans la volonté, je me suis cassé la figure.
T : Certains n’ont pas l’air bien dans leur peau ni psychiquement équilibrés…
S : Le plus important n’est pas de manger ou pas manger, mais d’approfondir son corps comme réceptacle de cet être, de cette présence. Plus on nettoie son corps, plus on touche à des aspects subtils, et on vit cette présence et cette joie.
Sungazing et moins se nourrir : développer cette croyance et cette conscience de l’unité. Le fait de manger ou de ne pas manger devient accessoire.
T : Expérimenter cette liberté-là, ce détachement. Les cadres et les catégories sautent.
S : On a de plus en plus de mal à scinder les choses. Le mental est fort pour ça, mais le cœur a du mal à faire ça.
L’histoire du 100ème singe : des chercheurs japonais, sur une île du Japon, ont lancé des patates aux macaques. Un macaque a lavé sa patate dans l’eau du ruisseau. Par mimétisme, tous l’ont fait, constatant que la patate était meilleure une fois lavée et débarrassée de son sable. Le 100ème singe a eu l’idée de nettoyer sa patate à l’eau salée, c’était encore meilleur ! Ensuite, tous l’ont suivi, non seulement sur l’île, mais aussi sur les îles environnantes, sans être en contact !
T : C’est ce qui explique aussi l’émergence de nouvelles théories similaires à différents endroits du globe au même moment. C’est comme si le fruit était mûr et qu’il n’y avait plus qu’à le cueillir.
S : C’est ce qui se joue aussi ici : c’est vous, par vos choix alimentaires et vos choix de société. Ca va être de moins en moins difficile d’aller vers ces transitions alimentaires subtiles, car d’autres ont fait le chemin avant nous, et que nous, on le fait pour d’autres…
Sachez vraiment que tout ce que vous faites, vous le faites aussi pour les autres. Des fois, quand on a un petit coup de mou, se rappeler ça, ça fait du bien !
T : Nous avons un haut niveau de responsabilité. Important de tenir sa position quand on va au contact des autres. Ne pas se travestir, pour faire plaisir, accepter ceci ou cela… pire des services à rendre ! On défriche ! On n’a pas des siècles de recul sur tout ça, c’est du défrichage. Mais il y a des encouragements sur le chemin, ça aide bien.
Intervention d’une stagiaire : Richesse de l’intervention et harmonie entre vous deux.
T : Le fait de dire oui aux choses et de permettre les choses…
Longtemps, j’ai été dans une conscience du manque et dans le besoin de survivre. Actuellement, une conscience m’habite. A certains moments, je sens mon corps tel qu’il est mais « pas encore manifesté ». Je le pressens. Il y a des jours, je me balade, et l’image que j’ai de mon corps… si on me tendait un miroir, ce que je verrais n’est absolument pas l’image que j’ai actuellement. Ca paraît complètement barré comme truc, mais je pressens déjà la densité future !
Et l’illustration la plus manifeste de ça et la plus magnifique, c’est il y a 2 semaines, je croise une amie que j’avais pas vue depuis 2 mois, qui me dit « Ouah ! Tu as pris du muscle et du poids ». Alors que je n’ai pas bougé d’1 gramme ! Mais elle était persuadée que j’avais pris de la densité. Elle voyait ce que je pressens et qui n’est pas encore manifesté. C’est subtil. C’est + que la corporalité. C’est la densité, au-delà des muscles (Thierry et Sébastien se livrent à une magnifique démonstration de culturisme à 36’01 !)
Densification et non éthérisation ! On ne parle pas de partir en nuages, mais au contraire de se densifier, de s’enraciner, d’être beaucoup plus ancrés. A partir des glandes surrénales qui pulsent à fond. Il faut que ça soit planté.
Le lendemain, 2 précisions de Thierry :
1) Descente d’énergie : quand on allège les processus mentaux et digestifs, il y a plus d’énergie pour les processus de détox et de régénération, puis ensuite pour le spirituel qui grandit en nous.
Ce n’est pas moi qui devient spirituel. Mais c’est plutôt une structuration qui se fait en moi et se structure pour que ça descende en moi.
Ce n’est pas moi qui m’élève au rang de Dieu, mais par contre qqchose qui se structure en moi pour recevoir ce qui était déjà là.
C’est très différent !
2) Tout ce que je vous ai présenté : c’est la voie du laborieux.
Mais il y a aussi la grâce. D’un seul coup, ça les cueille, sans préparation. Personnes qui font n’importe quoi sur le plan alimentaire et du mode de vie, et qui, un jour, vivent cette expérience.
Je suis un laborieux fini !
S : Lié au fait d’être réceptacle.
T : Montée d’énergie : création du canal d’énergie, ouverture de la porte pour recevoir.
Ca détermine où on se place et l’importance qu’on donne : est-ce qu’on est béni d’être réceptacle, ou est-ce qu’on investit son propre nombril et son propre pouvoir ?
Pour avoir vécu les deux, ça change tout !!
Les humains cherchent surtout à avoir pour amis des gens agréables qui flattent leurs goûts, leurs instincts. Celui qui leur dit comment avancer, comment se dépasser, oh là là, il faut le fuir ! Pourtant, il n’y a pas de meilleur ami qu’un Maître spirituel, car il représente la tête qui connaît la direction. Cette tête, bien sûr, ne procure pas que des sensations agréables, mais de temps à autre, quand le disciple étouffe ou se noie, quand il ne sait plus où il en est, il se décide, enfin, à avoir recours à elle pour respirer un peu et retrouver le chemin… Ce qui est triste, c’est que ça ne dure pas, et il retourne barboter dans les marécages. Alors, que doit faire le Maître ?… Il a donné des arguments, il a donné des méthodes, et si les disciples ne les acceptent pas, c’est la vie qui se chargera de leur donner des leçons. Et elle, elle le fait sans ménagement, à coups de massue ! À cette pensée, le Maître est triste, bien sûr, mais que peut-il faire ? Il sait seulement que, vivant ou mort, il est le meilleur ami de ses disciples, un ami comme ils n’en trouveront nulle part ailleurs. Le jour où ils le comprendront, rien ni personne ne pourra les arrêter dans leur marche vers la lumière et la liberté.
Je regarde tes vidéos depuis quelques semaines avec grand bonheur. Du coup je remange beaucoup plus de fruits et légumes chose que je faisais naturellement enfant ; J’ai eu la chance d’avoir eu une mère qui achetait l’été dans les P.O plusieurs cageots de fruits par semaines dans lesquels nous puisions à volonté tout au long de la journée.
Je vais à mon rythme sans me persécuter ni me frustrer et cela porte ses..fruits ;)
Je viens de lire un passage du livre d’Alexandre Jollien « Le philosophe NU » et je transpose allègrement sa quête d’authenticité à la pratique d’une alimentation consciente car l’ai en écho ta vidéo sur l’obstruction et les liens que tu fais avec la spiritualité. La citation est de Plotin philosophe antique :
« L’ascèse, c’est en faire moins, me suggère ce matin un écrit de Plotin :
« Tu étais déjà le Tout, mais parce que quelque chose s’est ajouté à toi en plus du Tout, tu es devenu moindre que le Tout par cette addition même. Cette addition n’avait rien de positif (qu’ajouterait-on en effet à ce qui est Tout ?), elle était toute négative. En devenant quelqu’un, on n’est plus le Tout, on lui ajoute une négation. Tu t’agrandis donc en rejetant tout ce qui est autre que le Tout : Si tu rejettes cela, le Tout sera présent.»
Et Alexandre Jollien de poursuivre : « La perfection n’advient-elle pas précisément lorsque plus rien n’est à enlever ? Le juste équilibre, la belle proportion, la justesse, voilà qui saura me guider dans ma quête. ..je souhaite ôter ce qui alourdit la statue intérieure …Mes attachements, je le devine, m’offrent l’occasion de cette sculpture intime où, sans mépris, on ose éliminer ce qui pèse. »
Tout est déjà dit dès l’antiquité. La notion d’unité, de présence à soi et de dépouillement. Ce n’est pas le message du +++ et toujours + qui a envahi notre société.
Merci Thierry pour ces belles vidéos qui éclaire mon chemin
Bien à toi & co
Un grand merci à vous deux pour ce duo plein de grâce,cela a réjoui mon cœur.
C'est certainement cela se connecter à son etreté ,être en phase avec soi-même ,comme le dit Sebastien c'est le chemin qui nous enrichit et il est différent pour chacun d'entre nous.
Vivre en conscience et en liberté,c'est le but mais aussi et plus que tout,la façon de remplir son réceptacle.
Belle vie !
À l’idée de travail est le plus souvent associée celle de peine, et même de châtiment que le Créateur aurait infligé à l’homme en expiation de sa faute originelle. Pourtant, le travail peut être une source de joie. Mais là, il ne s’agit pas de n’importe quel travail, et celui dont on vous parle dans une École initiatique est un travail avec la lumière et avec l’amour, un travail pour la lumière et pour l’amour… Celui qui symbolise le mieux ce travail, c’est le soleil qui, sans arrêt, éclaire, chauffe, vivifie. Voilà un travail auquel les humains n’ont jamais beaucoup pensé, mais vous, commencez à le prendre au sérieux. Tout d’abord, bien sûr, vous serez maladroits, et vous ne verrez pas tellement de résultats, il n’est pas facile de rayonner la lumière, la chaleur et la vie du soleil. Mais dès que vous aurez entrepris ce travail, tous les plaisirs que vous goûtiez avant pâliront à côté. Dans ces efforts d’apporter partout la lumière, la chaleur et la vie vous éprouverez une joie avec laquelle rien ne peut se comparer.
Alimentation, science et spiritualité : Se nourrir au XXIe siècle
Je pense qu'il faille bien définir le cadre d'un bon sungazing (être conscient de notre démarche)sinon on incarne une énergie déstabilisante capable de nous perturber.
Fiat lux!
b°
http://www.etrepresence.org/sp/05-2013-mai-meditation-guidee-meditations-seminaires-paris/345--la-permaculture-a-travers-le-monde-
Dominique.
pour aller dans votre sens, je vous conseille ce site :
http://livres-mystiques.com/
meilleures pensées :)
Alors juste merci pour avoir ouvert la porte Thierry,juste merci...Oh émotionnellement je soufre encore beaucoup de plaies qui saignent et peut être ces grosses crises de larmes,cette tristesse qui coule fait elle partie du chemin...C'est même certain je crois....Merci Thierry,prends soin de toi parce que tu es qqn d'essentiel....Merci Sébastien....
La dernière partie de l'entretien est un point qui mériterait d'être développé... Pour qu'il y ait grâce le canal doit être à la hauteur vibratoire de ce qui va lui être transmis et bien sûr cela repose en grande partie sur l'alimentation...
Si vous avez besoin pendant les stages d'une personne pour permettre aux enfants d'avoir "leur" stage (ou pour faire éteindre les portables...) je pourrais considérer me rendre disponible.
Merci à Thierry et à vous tous pour l'intérêt que vous portez à) sa démarche.
Dans l'attente de me joindre à vous....
http://www.youtube.com/watch?v=n2Fbjh7UuBQ
http://www.sungazing.fr/
Belle journée.
Dominique.